Heure d'été
Cher vous tous, fans de la première ou deuxième heure (de la « QueCal’heur » aussi),
Sachez que ce cher Sacha chassa son chat je me sens en faute. « En faute d’orthographe, ça oui, niark niark », pensez-vous en secret. « Ha ha, mais absolument pas », vous réponds-je !
Je me sens en faute de ne pas vous avoir fait part plus tôt de mes activités estivales. En effet, je me trouve en ce moment dans un coin absolument charmant, avec des êtres extraordinaires ! Non, mais pas loin quand même… C’est
Pour que vous puissiez me comprendre, je voudrais juste vous faire part de ma première soirée ici (mais c’est où, « ici » ?! Mais enfin, ça ne te regarde pas tellement l’ami...) :
- Lu Glamorama de Bret Easton Ellis sur la plage, soleil couchant, une oreille écoutant mon baladeur Raphaëlisé/Kateriné, l’autre bercée par le doux bruit de la mer (Le ressac quoi… « Ressac », c’est un mot super utile quand tu fais des mots-croisés. C’est comme l’« if », le conifère). Également fumé quelques cigarettes mais ça casse un peu le mythe romantique, quoique déjà un peu cassé par mon ami Bret E.E. J’ai adoré ce bouquin, l’écriture un peu trash et parfois très parlée. C’est ce que j’aime aussi chez mon ami Henry Chinaski (pseudonyme, héhé… qui reconnaître derrière ce nom ? A vos plumes les amis). C’est sûr que ça peut paraître un peu facile de citer des noms de stars, de parler de drogue et de sexe mais il le fait d’une très belle manière en mêlant le glamour à un côté beaucoup plus ravagé, mais sans non plus tomber dans l’excès les-stars-sont-tous drogués-immatures-et-nous-gens-du-peuple-on-est-vachement-mieux. Bref, je ne vais pas vous en parler trois heures.. Bret E.E., si tu me lis, marry me !
- Vu The Constant Gardener en plein air. C’est ultra bien ce film !! Hum, oui, je suis une très mauvaise critique de films ! En gros, c’est une histoire d’amour sur fond de trafic mondial ou une histoire de trafic mondial sur fond d’amour-toujours-c’est-lourd. Justin, membre de
Dans le prochain épisode de mes pérégrinations estivales, du sexe, de la drogue, du glamour et des soirées underground, des cerises à 4,95 le kg, du fromage à la coupe et des pochtrons qui paient trois bières avec un billet de 50.